On ne le répétera jamais assez, les fautes de frappe et d’inattention peuvent être évitées par une simple relecture. Pour les fautes qui relèvent d’une méconnaissance ou d’un oubli des règles d’orthographe et de grammaire, il est possible de progresser.
Je suis convaincue que lire est un excellent moyen d’appréhender les subtilités de la langue française.
En effet, lire beaucoup est un excellent moyen pour enrichir votre vocabulaire, vous familiariser avec l’orthographe des mots que vous employez peu ou pas du tout : des journaux type hebdomadaires, magazines, blogs… des ouvrages sur vos thèmes de prédilection, des classiques si le cœur vous en dit.
L’enquête du magazine Marianne du 20 février 2015 va plus loin et s’interroge : lire pour aller mieux ?
La lecture, comme cela est évoqué dans cette enquête, possède des vertus, celle d’approfondir ses connaissances, d’accroître sa culture.
Une critique américaine citée dans cette enquête attribue quatre fonctions à la lecture : économiser du temps ; rendre plus gentil ; guérir de la solitude et préparer à surmonter les échecs.
Si l’on dit de l’écriture qu’elle est un formidable exutoire, la lecture est vue ici comme un loisir curatif, un outil thérapeutique. L’enquête fait état d’une thèse scientifique consacrée à la bibliothérapie publiée en 2009 dans laquelle l’auteur s’accordait à dire que la lecture pouvait être un bon outil de soin.
Il faudra sans doute en toucher un mot à nos amis américains. Une enquête de l’agence fédérale NEA dévoile que la moitié des répondants n’avait pas ouvert un livre en 2014.